Ce n'est pas fini. J'ai toujours quelque chose à dire, à écrire. On ne pourra jamais me faire taire. C'est ainsi. J'emmerde tous ceux qui peuvent être choqués par mes messages. Et surtout les journalistes de France-Inter, cette station de radio ignominieuse. Et tous les "humanistes" qui sentent l'étron tellement ils ont peur. Il faut savoir que c'est carnaval tous les soirs, dans les banlieues. Au moins cent trente voitures brûlées quoitidiennement. Le chiffre est officiel, bien sûr. Combien de voitures brûlent réellement chaque soir? Le saura-t-on un jour? Bénéficierons-nous un jour d'une véritable information? On ne peut qu'être pessimiste.
En attendant, le carnaval des grosses merdes continue, les illuminations perdurent, les victimes s'accumulent, les discours humanistes pullullent comme des rats typhiques, toute résistance est insultée, bannie, marginalisée. J'entends les sirènes de pompiers, les sirènes qui gémissent comme pour une dernière fois. Mais je ne me laisserai pas aller. J'ai expulsé de moi toute tendance à la tristesse. Il faut être fier de soi, faire abdiquer toute honte. Le sourire se dessine dans mes yeux qui étaient presque morts, naguère. Je bois un grand verre d'eau fraîche.
Grosses merdes, je ne peux pas vous sentir. Vous n'avez aucune excuse.
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