Sunday, August 12, 2007

Le repas des monstres

"Le repas des monstres", ce serait un bon titre pour un film d'horreur, un nouveau film mettant en scène Nicolas Sarkozy et Georges Bush, les deux amis de l'enfer, les deux maîtres d'oeuvre de cette hérésie: l'amitié infernale franco-américaine, amitié qui sera sanglante, sanguinolente. Du vrai gore, n'en doutons pas. Sarkozy (Sarko pour les abrutis) ose tout: expulser les clandestins, insulter les banlieusards, faire une politique de droite dure (On le dit! Textuel!). Maintenant, il partage ses repas avec l'ennemi absolu Gorges Bush. C'est plus que ce que l'on peut supporter, c'est plus que ce que les bonnes consciences humanistes peuvent accepter, c'est plus que ce que les prêtres de la démocratie gauchiste toléreront jamais. Sarkozy est passé maître dans la trangression démoniaque. Il faudrait peut-être le brûler.
Une question se pose, à savoir ce que les monstres inspirés par le diable peuvent bien manger. Dans les années 80, une sorcière parlait dans une chanson très connue, un tube, de boeuf au pipi. Peut-être les deux aliens sionistes s'en repaissent-ils. Mais il faut imaginer d'autres repas immondes: je proposerai le cochon au vomi de rat, la côte de veau au sperme de chauve-souris sauce merde de cheval ou bien encore le rôti de boeuf à l'urine de chat noir en rut. Les deux complices d'Israel sont capables de tout. Il faudrait imaginer aussi une incantation pour en finir une bonne fois pour toutes avec les princes des ténèbres. Mais, je sais, ils sont très coriaces. Souvenez-vous d'Evil Dead. Les incantations réveillaient les puissances démoniaques.

Monday, August 06, 2007

Conclusions un peu trop hâtives (64)

- On ne va pas finir par photographier Nicolas Sarkozy à poil.
- Les photos du premier film de Houellebecq donnent envie de le voir.
- Maurice G. Dantec n'est pas devenu un écrivain automnal.
- Il est ridicule de mourir dans la paix du Christ comme le cardinal Lustiger.
- Les vacances des socialistes ne sont pas aussi chères que celles de Sarkozy.
- Il paraît que ceux qui émettent un doute sur le cinéma d'Antonioni sont des merdes.
- Je suis tout émoustillé à l'idée que jeudi soir, on passe un film de Chabrol sur Arte.
- Il paraît que Roman Polanski est d'une intelligence supérieure.
- Il paraît que Luis Bunuel, les cinéphiles le disent, n'a fait que des chefs-d'oeuvre.
- Il paraît que je me laisse aller, que je ne cherche pas vraiment un logement.
- Il paraît qu'il faut que je diversifie mes activités dès le mois de septembre.
- Je rêve d'un septième titre de champion pour l'Olympique Lyonnais.

Sunday, August 05, 2007

Au régal des connards

Eric Naulleau, je le relisais ce matin, je relisais Petit déjeuner chez Tyrannie. Le portrait de Josyane Savigneau et des chancres, tel Sollers, qui l'accompagnent est parfaite. Drôlerie et vérité: Naulleau a réussi un petit livre que je ne me suis pas ennuyé à relire. Bien sûr, les écrivains albanais, serbes ou autres qu'il cite me laissent totalement froid. Je repensais tout à l'heure au non-livre qu'il a publié voilà deux ans, je crois, vous savez, cette fausse interview intitulée: Au secours, Houellebecq revient! Je reviendrai plus en détails sur cette fausse oeuvre. Je voudrais juste revenir sur un détail de la critique faite à Houellebecq. Il paraît, Houellebecq le dit lui-même, que les romans de cet écrivain décrivent l'humanité moyenne. Et Naulleau lui-même, pourtant si malin, si caustique parfois, de lui donner raison pour mieux le critiquer encore. Or, rien n'est plus faux. Je ne sais pas si beaucoup d'ennemis ou d'amis de Houellebecq ont lu ses romans, mais il y a tout de même des descriptions frappantes. Descriptions qui concernent le corps des femmes avec lesquelles couche le héros. Des femmes très belles, aux seins, au corps magnifique. Quel galbe!...Vous avouerez que des femmes de l'humanité moyenne comme ça, on en croise tous les jours... Il faut toujours garder l'esprit en éveil, critiquer Houellebecq, d'une part, et se demander si ses ennemis ne sont pas en train de s'égarer.
Je n'ai pas fini sur Naulleau, qui m'est de plus en plus antipathique. Je viens de voir une vidéo dans laquelle on le voit (dans une émission de Ruquier) défendre Marc-Edouard Nabe qui, il ya quelques mois ou peut-être même un an, a réédité Au régal des vermines. L'édition est augmentée d'une préface où l'auteur, méprisé par tous les médias, c'est bien connu, s'en prend à Michel Houellebecq, qui était son voisin, en 1985. 1985, février 1985,ça ne vous dit rien? L'émission d'Apostrophes (dont on peut voir un extrait sur dalymotion) où Marc-Edouard Nabe déversait sa bile sur un peu tout le monde. Le syndrôme de Tourette, mais contrôlé, pour reprendre le mot de Naulleau. Qui, lui, sait quelle est la véritable littérature. Il le dit: "Nabe, c'est un écrivain; Houllebecq, c'est un non-écrivain."Il était encore émoustillé par la performance de Nabe chez Pivot. Il faudrait écrire un livre comique sur Naulleau.
Il faudrait aussi se demander pourquoi Nabe bénéficie d'une telle admiration. Certes, on le considère comme un antisémite mais n'oublions pas une chose: il est le premier défenseur de la cause arabe, de la cause des opprimés, des islamistes. Et ça, ça rend tout de suite sympathique.
Au fait, j'oubliais. Dans la vidéo, on peut voir Mazarine Pingeot qui, elle, appartient à l'humanité moyenne, moins que moyenne, à l'humanité nulle, pour tout dire. Elle est aussi peu gracieuse qu'écrivain.

L'avant-garde suédoise

Je ne suis pas systématiquement contre les néologismes, François Rabelais en a crée beaucoup qui sont restés dans la langue française. Remarquons tout de même que ce maître de la prose poétique (ou de la poésie en prose, comme on voudra) est à des années lumières des néologistes de notre pauvre époque et surtout des avant-gardistes suédois, plus particulièrement de la communauté (mot devenu si risible...) homosexuelle viking. Je me suis souvent moqué du nouveau mot "homophobe. " Mais il faut croire que je retarde, que mon vocabulaire est très limité, je le concède. (Je connais de vieux verbes comme "endêver" ou "issir", c'est tout dire...). Je viens d'apprendre un nouveau nom commun: "transophobe". Mot qui désigne les fascistes qui ne peuvent supporter ceux qui sont passés de la planète Vénus à la planète Mars et inversement. On devrait rééditer les dictionnaires tous les six mois.
J'ai appris ce mot dans Le Monde, vaste encyclopédie du conformisme dégueulasse, qui, ce matin, évoque la gay pride à Stockholm, son succès. En effet, quel succès! Neuf ministres défilaient avec les "fiers d'en être". Mais pas seulement des hommes politiques, l'Eglise protestante luthérienne également. Qui doit avoir très peur d'être marginalisée. Pauvre Eglise! Que penserait Luther de ce grand rassemblement? Un rassemblement qui n'est pas du tout un moyen de lutter contre l'homophobie, comme les tantes (Attention, je fais de la tantophobie.) veulent le faire croire, mais une immense provocation carnavalesque. L'année prochaine, ce sera l'Europride, une date dans l'histoire de l'humanité.
Nous aussi, Français (ou autres...), allons vivre bientôt une aussi grande réussite festive avec les curés, les sarkozystes, les hollandais (ou autres...) C'est juste une question de temps. "It's the final countdown", pour reprendre le refrain du groupe suédois Europe.

Saturday, August 04, 2007

Un petit daim

Il y dix jours, je suis allé à la mairie de Vénissieux, pour une raison que je ne préciserai pas. Vous savez, la mairie juste à côté du commissariat, dans une rue transformée en chantier. L'échange de paroles a duré au plus vingt-cinq secondes. Ensuite, j'ai dû attendre le bus plus d'un quart d'heure, dans une sorte de no-man's-land crépusculaire où personne ne se parlait. Moi aussi, je me murais dans le silence. Ah, Vénissieux, une commune agréable où l'atmosphère n'est pas à couper au couteau. Pour ça, non! La maire a bien raison de craindre la guerre civile. Elle va certainement avoir lieu. En attendant, les actes d'incivilité, comme disent les connards euphémistiques, se poursuivent. Dégradations, agressions diverses. C'est le pain quotidien des Vénissians (A un moment donné, on les appelait les Vénitiens, par dérision, c'est probable.) A ce propos j'ai apppris cet après-midi que des discriminés ont jeté un cocktail molotov dans la cage d'un des ascenceurs d'un immeuble de quinze étages. Bien sûr, les ascenseurs seront hors d'usage pendant des mois. Ceux qui habitent dans les derniers étages ont dû apprécier. Il paraît que la déflagration a été d'une violence inouïe. D'une telle violence que toutes les portes de l'immeuble sont sorties de leurs gonds. Encore un effort, chers amis, chères victimes de l'exclusion. Encore un effort, la prochaine fois, servez-vous d'explosifs plus performants, plus définitifs. Bientôt, ce ne seront plus les portes qui sauteront en l'air mais les immeubles. Il ne faut pas que j'oublie que c'est dans cette ambiance délétère que je vais travailler dès septembre.

Photo d'un serval

L'autre jour, j'entendais un journaliste, un type douteux, sans aucun doute, parler d'islamisme modéré. Je ne savais de quoi il parlait exactement. Un peu plus tard, j'ai su qu'il commentait le résultat des élections en Turquie, la victoire d'Erdogan, le premier ministre, le nouveau djihadiste au pouvoir (qui, soit dit en passant, a préféré que ses filles fassent leurs études aux Etats-Unis, dans ce vaste pays où le voile n'est pas interdit dans les universités.). Les médias font dans la nuance (nuance crapuleuse, cela va sans dire) maintenant. Islamiste, certes, mais attention, modéré! Il ne faut tout de même pas froisser nos amis Turcs, nos prochains compatriotes européens, probablement. (A ce propos, Sarkozy semble maintenant être moins tranchant sur la question de l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne, à laquelle il était, il y a peu, fermement opposé.) Oui, islamiste modéré. Cela ne me donne même pas envie de rire. Peut-être dans l'entourage d'Adolf Hitler y- avait-il des nazis modérés. Et pourquoi pas des staliniens, des communistes, plutôt modérés? Des mecs sympas, au fond. Comme Erdogan. Maintenant, il s'agit pour lui et pour son gang de malfaiteurs d'élire un successeur à l'actuel président. Il faut réislamiser le pays miné par ce traître que fut Mustapha Kemal. Ce traître à l'islam.
L'islamisme d'état est à nos portes. Mais c'est vrai, comme le disent les médias (qui me donnent envie de vomir), ce n'est pas de l'islamisme pur et dur. Voilà la nouvelle vérité (médiatique): il existe un islamisme qui n'est pas pur et dur. Si j'étais journaliste à la radio, à la télévision, au Figaro, au Monde ou à Libération, j'aurais honte de moi. Mais la honte semble avoir vécu.

Une femelle bonobo et son petit

On va dire: il n'arrête plus de parler de l'islam, celui-là. Il se trouve que je vais continuer. Je rattrape un peu le temps perdu; j'aurais déjà dû parler du sort des otages sud-coréens, que les Talibans d'Afghanistan (Je dis bien: d'Afghanistan, car il y en a un nombre appréciable dans notre beau et cher pays, la France mais aussi dans toute l'Europe.) tuent un à un maintenant, Hamid Karzaï, le chef de l'état afghan se refusant à faire un échange de prisonniers, comme les criminels le lui demandent. Sur ce point, on peut faire confiance aux islamistes, ils ont de la suite dans les idées, ces salopards de la divinité, ces ordures de la métaphysique. Ils disent ce qu'ils pensent et, surtout, ils font ce qu'ils disent. L'autre, le Youssouf, Youssouf Ahmadi, voilà, a parlé très clairement: "Finalement, ce soir à 20h30 nous avons tué par balles un sud-coréen du nom de Sung Sing et son corps a été abandonné..." Il en reste encore 21 à abattre, dont 16 femmes. Précisons tout de même que ces sud-Coréen sont tous des presbytériens et que, bien évidemment, pour les abrutis du Coran, un chrétien ne vaut pas cher. Bien sûr, ils ne se gênent pour tuer leurs frères musulmans mais il faut être clair: à chaque meurtre d'un sud-Coréen chrétien, c'est une nouvelle promesse de paradis. Le paradis des cuisses et des anus ouverts. C'est ça, le paradis d'Allah, un film porno qui n'en finit plus. A quand l'écrasement total des talibans et de tous les islamistes?

Je maintiens

Hier soir, on me disait que mon texte sur le génie lybien, Khadafi (Quelle est la vraie orthographe? J'ai lu: Gathafi sur un site.) comporte un contre-sens, que le colonel s'inscrit contre l'entrée de la Turquie en Europe, contre l'islamisation de celle-ci. J'étais un peu surpris. On me pressait, on me disait de rectifier le message, ce que je n'ai pas fait, bien sûr. Ce matin, pris d'un doute, j'ai fait quelques recherches google et j'ai été confirmé dans mon idée: je ne me suis pas trompé. Reportons-nous 16 mois en arrière. Soyons précis. Lieu: Tombouctou. Date: le 10 avril 2006. Je ne ferai pas de commentaires sur ce discours de Khadafi, je n'userai pas de l'ironie. Je donne le texte tel quel: "Tout le monde doit devenir musulman. Aujourd'hui, ici, à Tombouctou, nous rectifions l'histoire. Nous avons 50 millions de musulmans en Europe. Il y a des signes qui attestent qu'Allah nous accordera une grande victoire en Europe: sans épées, sans fusils, sans conquête. Les 50 millions de musulmans d'Europe feront de cette dernière un continent musulman. Allah mobilise la Turquie, nation musulmane, et va permettre son entrée dans l'Union Européenne. Il y aura alors 100 millions de musulmans en Europe: l'Europe subit notre prosélytisme, tout comme l'Amérique. Elle a le choix de devenir musulmane ou de déclarer la guerre aux musulmans." Vous conviendrez avec moi qu'à moins d'être complètement abruti, on ne peut faire de contresens sur un tel discours. Mais peut-être Khadafi a-t-il fait un virage à 360°. Peut-être les ventes d'armes françaises l'ont-elles fait changer d'avis. On me disait hier soir que maintenant, le colonel bombeur de torse est contre l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne, qu'il a peur que celle-ci ne s'islamise. Un homme de conviction, Khadafi. Un vrai guignol, en réalité. Un pantin sinistre.

Friday, August 03, 2007

Un grand destin

Un jour, le petit d'homme qu'était Muhammar Khadafi, ne supportant plus la médiocrité de sa vie, s'est dit: "J'aurai un grand destin, je sais que je peux y arriver." Et à ce moment-là, il bomba le torse si fort que tout son entourage en fut fort impressionné. Un homme conscient de son importance, le colonel Khadafi, comme on peut le voir dans le document où, pendant qu'on joue la Marseillaise en présence de Nicolas Sarkozy, cette sorte de trafiquant reconverti dans la politique, il gonfle la poitrine, la tête levée, fière, inflexible, impressionnante, pour tout dire. Il est vrai que sa mission sur Terre est cosmique. Un vrai génie, Khadafi, et, comme tout génie qui se respecte, un visionnaire, l'homme qui ne peut pas se tromper, qui voit déjà l'Europe islamisée grâce à l'entrée des 100 millions de Turcs dans l'Union européenne. Ces 100 millions de fidèles qui s'ajouteraient à ceux déjà installés depuis des décennies dans notre Europe faisandée, qui me donne la nausée.
Mais ne faisons pas injure aux autres musulmans. Il ne faut tout de même pas oublier "le génie qui broute dans les étoiles", comme disait le poète Baldur von Shirach d'Adolf Hitler (Tout le monde aura apprécié la métaphore bovine; il ne semble pas que le grand homme autrichien l'ait comprise.), le conquérant, le guerrier, le djihadiste, le nostalgique d'Al-Andalus Oussama Ben Laden, lui aussi bien conscient de sa mission salvatrice.

L'union sacrée

Pourquoi en vouloir aux musulmans? Pourquoi les haïr? Pourquoi critiquer leur religion, comme le font les islamophobes? Il faut tout de même savoir qu'il est de bon ton à notre époque de critiquer l'islam. Au fond, les islamophobes sont des conformistes, des conformistes dangereux qu'il faut combattre, bien entendu. Non, ce qu'il faut, c'est une bonne union, une union sacrée, une osmose entre les civilisations. Le révérend de Leeds(Oui, ça se passe encore en Angleterre; on n'en aura jamais fini avec les Anglais.) l'a bien compris, lui, qui, je viens de l'apprendre, a marié religieusement deux musulmans. Les deux perdreaux ont expliqué leur décision en disant qu'ils voulaient célébrer leur tradition et leur identité. C'est fait. Le révérend a été le grand célébrateur de la culture islamique. C'est de l'union sacrée, ça! Précisons tout de même que les amoureux se sont mariés une deuxième fois, selon le rite musulman.
Si l'on réfléchit bien, le meilleur moyen de s'assimiler à la culture islamique, c'est de se convertir tous à l'islam. On en aurait fini avec le racisme, l'islamophobie. On modifierait les drapeaux qui ne seraient plus ornés d'un croissant de lune, bien maigre, il faut l'avouer, mais d'une pleine lune qui représenterait l'islamisation totale de la planète. Mais avant tout, celle de la Grande-Bretagne qui se libanise à un ryhtme effréné.
Les musulmans ne peuvent supporter l'odeur du porc. Moi, je trouve que ça sent le pourri de plus en plus. On va mourir asphyxiés, si ça continue. Pauvres de nous! Nous allons disparaître dans la honte. La honte de nous-mêmes.

Les islamistes sont de grands sensibles

Oui, Rohff est un grand sensible. C'est pour cela qu'il s'emporte contre ceux qui ne suivent pas les préceptes moraux à la lettre. Un grand sensible, comme beaucoup de ses coreligionnaires. Il semble bien que les Britanniques ne l'aient pas encore compris, ces Britanniques, plus inconscients que racistes au fond qui se permettent de fabriquer de la nourriture pour animaux avec de la viande de porc. Vraiment étourdis, ces British! Ils auraient dû prévoir que leur projet de site de productions d'aliments pour animaux provoqueraient les protestations de la communauté musulmane, dont on ne louera jamais assez la finesse et l'extrême sensiblité olfactive. Eux, les musulmans, savent mieux que personne qu'on peut être contaminé par les particules porcines que transporterait la fumée du site de production, qu'il faut rester pur. Au fond, les Anglais sont peut-être des provocateurs, peut-être même, on ne sait jamais, des islamophobes. Des crypto-islamophobes, pour employer un mot magnifique. Il serait temps que les chats et les chiens se convertissent à l'islam.
Moi, je le dis franchement. Je suis très sensible à la viande de mouton, qui me répugne. Mais je ne suis pas musulman, je n'ai pas peur de mourir en inhalant une côte d'agneau. Non, le mouton, l'agneau, ce n'est pas pour moi. Par contre, je conseille fortement le rôti de porc aux oignons et le mignon de porc. Je n'oublie pas non plus la charcuterie, une des plus grandes inventions du génie humain.

Ode aux enculés de leur pute

Je lisais, il y a quelques années, un article littéraire (Ce ne sont pas les termes exacts mais le sens y est.) sur l'art de l'invective. Et même le génie, pourquoi pas? Dans ce texte, on disait même qu'"invective" signifie quelque chose comme: "chasser les forces du mal". L'invective, comme une incantation, au fond. Oui, c'est ça, on ne peut pas se tromper. On ne peut pas se tromper sur ce grand musicien nommé Rohff, un rappeur évidemment, comme tous les grands artistes de notre époque d'enculés de leur mère. Oui, enculés de leur mère. C'est comme ça que parle Rohff, qui s'emporte contre d'autres rappeurs, à qui il promet des tortures infinies. A un moment donné, il parlait même de viol collectif, de gang bang perpétré contre les mères de ses ennemis. Parce qu'il ne faut pas l'oublier, Rohff est un musulman et, par définition, il ne se laisse pas faire, il se venge, il détruit, il élimine. Un vrai fanatique d'Allah, Rohff, qui s'en prend aux adultes des quartiers qui entraînent la pauvre jeunesse dans de sales histoires. Lui est un vrai moraliste. Un moraliste furieux, c'est ça, non? Le roi de l'insulte. Un homme avec une vraie éthique, l'éthique du guerrier impitoyable, l'éthique du vrai fondamentaliste, du grand redresseur de torts, l'éthique du vrai enculé de sa race, de l'islamiste . L'enculé de sa mère la pute aurait été parfait dans la vidéo s'il avait eu un sabre à la main, un sabre à trancher ses ennemis du rap mais aussi, il ne faut pas les oublier, les fils de putes, les Chrétiens, les colonialistes, les sales racistes, les génocidaires de l'Afrique, qui méritent bien qu'on leur nique leur race maudite.