Saturday, May 31, 2008

Les phénomènes de foire



Non, je n'en finirai jamais avec le blog. J'ai encore la liberté de le poursuivre et j'en profiterai, de ma liberté. Je ne sais pas encore jusqu'à quand. Mais je ne vais pas me plaindre; j'ai plutôt envie de rire ce matin. Il y a des têtes de noeud qui engendrent l'hilarité. Pour donner un exemple saisissant, un exemple frappant de perfection dans la tête de noeud, j'évoquerai Jean-François Copé, dont l'infatuation peut, j'en conviens avec vous, parfois donner la nausée. Non, je vous en prie, ne le comparons pas à une fouine, respectons la faune qui, elle, n'a jamais l'air de se foutre du monde. Regardez-la, admirez la tête de Copé, une sorte de cible de fête foraine sur laquelle on lancerait des fléchettes. Bingo pour celui qui la frapperait entre les deux yeux! Oui, il faut voir Copé comme un phénomène de foire. Un phénomène dont l'odeur nauséabonde n'aura échappé à personne, je l'espère. Ce connard n'a aucune espèce de culture. Du reste, je suis persuadé qu'il ne sait même pas qu'il a un homonyme. C'était un poète de la fin du XIXème siècle, un certain François Coppée que cette époque de slammers merdiques a complètement oublié et qui écrivait "Volupté des parfums!-Oui, tout odeur est fée." Il s'y connaissait en parfums. Par contre, il n'est pas du tout sûr que Copé (avec un p et sans e à la fin) se rende compte de sa puanteur.
C'était la rubrique: "Florilège de têtes de noeud". La prochaine fois, nous évoquerons le splendide Henri Weber.