Saturday, July 14, 2007

In capite pugnus

Je ne suis pas un amateur de choux à la crême, de Saint-Honoré, de tartes à la crême. Généralement, à la fin des repas, au restaurant, je commande une tarte au chocolat et même un fondant au chocolat, agrémenté, parfois, pas trop souvent non plus, de crême anglaise. Il y a comme ça des fanatiques de la crême, comme Noël Godin, le terroriste belge qui a dépassé l'entendement en termes de débilité mentale. Il paraît qu'il en veut beaucoup à Doc Gynéco, celui-ci ayant traité Michel Polac de malade en phase terminale. Mais il semble qu'il lui reproche surtout son sarkozysme (A ce propos, je me demande si la France n'est pas devenue sarkozyste à 100%; il faudrait réfléchir à la question, question très grave.), sarkozysme intolérable, bien sûr. Doc Gynéco méritait sa tarte à la crême en pleine poire. Pour la cinquième fois, je crois. Noël Godin, le gauchiste pratiquant l'action directe pâtissière, est très fier de lui, de son tableau de chasse et surtout d'avoir entarté Bernard-Henri Lévy, l'écrivain négligeable de Hillary Clinton, femme sans saveur dont tout le monde se fout éperdument. Non, Noël, espèce d'abruti, ce n'est pas à la tarte à la crême qu'il faut agresser les grands de ce monde pourri. Il faudrait multiplier les coups de pied dans la tête mais aussi dans le ventre. Le mieux, le plus efficace, c'est le coup de pied dans les couilles, dont je serai très heureux que tu en bénéficies un jour, pauvre gauchiste dégénéré.

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