Saturday, April 28, 2007

La France n'a pas de chance

Je sais, j'ai un peu de retard mais, en ce moment, je ne peux continuer le blog qu'en fin de semaine. Voilà. Les deux candidats chéris des médias seront présents au deuxième tour, la délétère Royal et le marteau Sarkozy (J'avoue avoir une grande tendresse pour les marteaux.). Le Pen éliminé au premier tour. Je m'étais trompé, je le reconnais: je le voyais au deuxième tour et faisant un gros score. On dit que ses élécteurs ont préféré voter (utile) Sarkozy. Pas ceux qui sont écoeurés par l'axe Washington-Tel-Aviv que représente le bouc démoniaque de l'UMP. Le Pen a dû perdre toute sa morgue. Il devenait comique dimanche soir quand il disait: "J'ai dû faire une erreur de jugement." Marine Le Pen, elle, continuait de bavarder, se croyant peut-être déjà à la tête du Front National.
J'écoutais hier soir sur une chaîne de télévision risible, Bruno Mégret (qui a tout de même une grande ressemblance avec Goebbles;comparez les photos; vous serez frappés.) qui rendait Marine Le Pen responsable de la lourde défaite de Le Pen (dont je suis très heureux qu'il se soit ramassé une gamelle). Il lui reprochait en somme de l'avoir méprisé, lui, Mégret, le sauveur de la droite nationale et, surtout, je crois, d'avoir adouci le discours du Front National. Sur le plateau de télévision se trouvait également un socialiste, dont j'ai oublié le nom et qui avait un air de suffisance répugnant. Une affreuse tête à claques. Il semble bien que le socialisme soit une perversion de l'esprit humain, comme le communisme, surtout à notre époque.
Toujours hier soir, je regardais Alain Soral qui, dimanche soir, réagissait à la défaite du révolutionnaire Le Pen. Bien sûr, il a fait une sorte de diatribe des médias qui ont favorisé les candidats de l'UMP et du PS. Il n'avait pas tort mais quelle crédibilité peut avoir un contempteur du système qui soutient Le Pen? Pauvre Soral! Ce niais s'est complètement égaré. Je note qu'il parlait en tanguant. Peut-être avait-il déjà forcé sur le sirop vignolat, comme disait l'ami François Rabelais. Du reste, à la fin de l'entretien, il l'a annoncé: "Je vais me bourrer la gueule!"
François Bayrou, le paysan totalitaire, sera l'objet d'un autre message.

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