Je l'avais déjà vu de loin, hier, je l'ai vu de près. Je parle de Sarkozy, pas de Nicolas, je parle de son fils, Jean. Attention, l'apprenti acteur de théâtre a démenti la rumeur selon laquelle il allait monter sur les planches avec Tapie, pas Bernard, celui dont on a pu admirer l'interprétation dans l'immense (Je ne pense pas me tromper.) remake théâtral de "Vol au-dessus d'un nid de coucou", non, pas Bernard (dont la vulgarité semble avoir atteint le point de non-retour), Sophie, Sophie Tapie, un être dont j'ignorais l'existence il y a un quart d'heure. Je mourrai moins con, comme disent les types infréquentables qui, en général, sont de plus en plus cons. Le temps est cruel avec bon nombre de gens. Qu'est-ce qu'on y peut, comme disait ma pauvre grand-mère.
Non, Jean Sarkozy semble avoir mûri depuis longtemps l'idée de faire une carrière politique et c'est pourquoi il a quitté les planches pour marcher sur d'autres planches, celles de Neuilly, ville qu' un énergumène, probablement, nommé David Martinon veut conquérir, à la suite du président de la république (dont la descendance laisse pantois) bien aimé. Jean soutient le nouveau candidat. Pourtant, il serait beaucoup mieux en tant qu'acteur. Du reste, il a le physique de l'emploi, comme disent ceux qui feraient mieux de fermer leur gueule. Cette sorte de Jean Dujardin, peut-être son fils spirituel, qui sait, serait beaucoup mieux à surfer devant les écrans. Il est tout de même des descendances sinistres.
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