Ah, la morale... J'ai un gros problème avec cette femme qui me dégoûte depuis quelques décennies, en réalité, depuis le règne hideux de François Mittérand, dont la fille est un monument de médiocrité et de disgrace. On doit reconnaître une chose, c'est que les moralistes ont une constance (qui ne force pas le respect, évidemment) sans faille. Prenez l'exemple répugnant d'Enrico Macias. Il récidive, le mauvais, il continue, le reptile roucoulant. Si son visage s'empourpre, c'est parce qu'en ce moment, son sentiment dominant, c'est la honte. Il trouve honteux la loi sur les tests ADN. Et il s'y connaît en morale. Il le dit, il le prouve en évoquant son oeuvre immense de poète humaniste putassier. Lui, le grand amoureux, l'adorateur de Nicolas Sarkozy serait bien déçu si son Président de la République chéri acceptait que cette loi fût appliquée. Il ne peut pas cautionner cela. Non, Sarkozy ne peut avaliser une telle honte. Cautionner, avaliser: saluons la richesse du vocabulaire du chanteur honteux.
Il faut le comprendre, l'Enrico, ce type sans morale, sans scrupule. Les tests ADN lui rappellent les heures douloureuses de l'histoire de France, les années 40. Peut-être les enfants qui auront été détectés comme non légitimes vont-ils finir à l'abattoir. Qui sait? Que faire? Rien. On ne peut qu'être le spectateur navré de la multiplication des salauds donneurs de leçons.
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