Pauvre Christine Angot, on doit peut-être avoir de la peine pour vous. Je soupçonne que votre cerveau ne fonctionne pas à plein régime. Quand on ose dire des choses telles que: "Est-ce que l'amour existe?", on est en droit de se poser des questions sur votre encéphale. Peut-être pensez-vous révolutionner la littérature en posant cette question risible. Peut-être vous trouvez-vous originale. En réalité, vos écrits sont aussi insipides (et laids) que votre apparence (Voir la photo). Mais je n'ai pas fini de citer vos sentences définitives d'écrivaine (c'est comme ça qu'on dit, chez les connes?) géniale, détentrice de la vérité, comme vous le dîtes si bien: "L'écrivain aime la vérité qui fait mal comme les cons la vérité flatteuse." L'écrivain, amoureux de la liberté bla bla bla. Vous êtes la reine des lieux communs. En vérité, c'est monstrueux. Oui, vous êtes un monstre d'infatuation et d'insignifiance. Et que de faux écrivains vous défendent m'en convainc d'autant plus. Vous vous déclarez sans morale quand vous écrivez. La morale d'un écrivain, c'est d'écrire comme un écrivain, c'est d'apporter quelque chose de nouveau dans le paysage ennuyeux de la littérature française. Désolé, mais vous n'apportez rien de neuf. Même quand vous évoquez la liberté: "La liberté ne se définit pas, elle se vit." Quand on n'a pas de talent, on la ferme. C'est juste une question de délicatesse.
J'aurais voulu être drôle, mais non seulement je n'en ai pas le goût, en ce moment, mais je ne veux surtout pas imiter Jourde et Naulleau: l'écrivain pesant et l'arriviste télévisuel.
No comments:
Post a Comment