La fortune de miss Smile m'intéresse très moyennement mais c'est toujours drôle d'apprendre qu'un (ou une) socialiste est soumis à l'Impôt Sur les grandes Fortunes. Cela n'a l'air de choquer personne à gauche. Pauvres gens, tout de même, ces gauchistes... Pauvre Ségolène, la grosse mama de Lille est venue à sa rescousse, la campagne ségolénienne connaissant des couacs, comme disent les connards. Au tour de Jack Lang, maintenant, le partouzeur chevelu et hautain qui méprise tout ce qui n'est pas lui-même, tout ce qui n'est pas son égo pourri. Il vole au secours de la Charentaise acéphale. Il a ces mots magnifiques: "choisir pour notre pays un destin". Oui, c'est vrai, Ségolène Royal est un destin, ou plutôt une fatalité, sera fatale pour la France si elle est élue. Pauvre Jack Lang, le lézard pompeux, le reptile cultivé aurait bien aimé être à la place de La Cigogne. Le rêve de ce mouton terrifiant était de diriger une France de merde. Je le cite encore, il fait l'éloge de "l'intrépidité, de la fraîcheur, de la créativité" de la perniciosa Segolena. Je suis certain qu'il pensait à ces néologismes: intrépiditude, fraîcheuritude et, ce qui est sublime, créativitude.
Tout cela n'est même pas drôle. Nous sommes dans les ténèbres.
Nicolas Sarkozy est prêt à changer de métier s'il n'est pas présent au deuxième tour de la Présidentielle. On n'a pas posé la question à Ségolène Royal. Il serait judicieux qu'elle prenne la décision de disparaître à tout jamais si les Français ne la sentent ni intrépide, ni fraîche, ni créative, si elle ne passe pas le premier tour. Mais le matraquage honteux en faveur de Ségolène est trop intense pour que ce grand événement se produise.
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