Voilà que l'anxiété perd de son énergie
Et j'attendrai que sous le film incontrôlé
S'accumulent les cris haineux de la magie
Et que l'ancien destin puisse enfin me frôler.
Je regarde la nuit de l'âpre astrologie
Et je pleure de joie et je suis consolé
Par le cosmos sans fin, cette théologie
Qui tourne sans arrêt dans le temps inviolé.
Je regarde mourir la laideur assagie,
Ce mensonge assassin, risible, qui plagie
La vérité de l'homme et le songe envolé.
Je m'endors sur le lit de la cosmologie
Et j'ai senti le corps d'une femme régie
Par le soleil remplir mon espoir immolé.
Friday, January 26, 2007
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
Blog Archive
-
▼
2007
(433)
-
▼
January
(59)
- Conclusions un peu trop hâtives (28)
- Substitution
- Too many of them
- Shakespeare's kingdom
- I'm laughing
- Miroir
- Conclusions un peu trop hâtives (27)
- That's life
- Brèves (17)
- Bain de sang
- La douceur du Christ
- Bullet in the head
- In capite merda
- Nodi caput
- Sonnet XIII
- Renversement
- Eloge de la propreté
- Tenebrae
- Conclusions un peu trop hâtives (26)
- Nous nous regardâmes
- Sonnet XII
- L'ange débile
- Il faut posséder Dieu
- Mute world
- La menace sans fin
- Brèves (16)
- La poésie du XXème siècle
- Victoire sur le néant
- Comiques troupiers
- Au-delà de mai 2007, votre ticket n'est plus valable
- Engourdissement
- Conclusions un peu trop hâtives (25)
- Devinettes faciles
- Sonnet XI
- Liste noire
- Le gouffre
- L'amour charnel
- Submersion
- Très mauvaise humeur
- Drôle de personnage
- Le crabe
- Conclusions un peu trop hâtives (24)
- La justice des enculés
- L'idiot
- La victoire
- Sonnet X
- Le Chrétien le plus haut
- La détresse humaine
- Brèves (15)
- Littérature et comique
- Le cerveau de Christine Angot
- L'infinitif
- Sonnet IX
- Danger maximum
- Contre les kangourous
- Faits divers imaginaires mais plausibles (2)
- Vive l'Espagne!
- Sonnet VIII
- Illuminations et art moderne
-
▼
January
(59)
No comments:
Post a Comment