J'ai toujours été hérissé par les grosses gueules, comme Nicolas Sarkozy, pour donner un exemple de poids, puisque cet individu est notre président à tous, oui, comme Nicolas Sarkozy qui fait davantage penser maintenant à un socialiste dissident qu'à un homme de droite. Cette grande gueule qui n'impressionne que les gauchistes frileux, toujours à l'affût de la moindre discrimination, de la moindre stigmatisation. Qui me fait plutôt sourire. Un vrai branque, comme on disait jadis en argot et dans les Tontons Flingueurs. Mais il y a mieux que Sarkozy en matière de grande gueule. C'est la consternante Sylvie Noachovitch, la candidate UMP aux législatives qui, d'après le Canard Enchaîné (Canard qu'il ne faut surtout pas prendre au sérieux), a tenu des propos racistes sur les Noirs et les Arabes, avec lesquels, paraît-il, elle ne pourrait pas coucher. Si ces propos sont authentiques, une question se pose. Se croit-elle désirer par tous les hommes? Pas par moi, en tous cas.
Il faut la voir, la Sylvie, parler à la foule, essayer et arriver à électriser son public de blaireaux. Imite-t-elle l'autre évangéliste Ségolène Royal? C'est fort probable. Il faut l'écouter parler d'amour. Ecoutez-la. Elle a répandu le bien partout dans sa commune. Elle a même aidé un homme à résoudre ses problèmes d'alcoolisme. C'est dire la profondeur de sa générosité. Générosité persécutée. Oui, persécutée, agressée par ses adversaires politiques. Elle ne doit la vie sauve qu'à une de ses admiratrices qui l'a arrachée des griffes de ses ennemis. Je ne suis pas misogyne, comme on le pense parfois mais Sylvie Noachovitch est une pauvre femme. Comme Ségolène Royal. Je leur préfère de loin Hildegarde de Bingen ou Sainte Thérèse d'Avila qui furent d'authentiques amoureuses.
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