J'avais déjà écrit dans un message qu'Alain Soral est fort drôle. Je viens de lire une conférence de presse du boxeur social, conférence de presse où il affirme encore une fois son soutien inconditionnel à Jean-Marie Le Pen, un autre comique, celui-là, surtout quand il joue au social-démocrate ayant perdu de sa verve. Il est lui aussi, comme l'écrivain sociologue résistant, l'ancien communiste et chevènementiste, surveillé par le Big Brother orwellien. Il ne faut pas avoir de doute là-dessus. Soral, Le Pen sont les vrais révolutionnaires qui nous débarasseraient une bonne fois pour toutes du mondialisme qui appauvrit la France, -cette France à l'Américaine. Votez Le Pen! Il nous débarassera de l'internationalisme totalitaire. Pauvre Georges Orwell, on le mélange à toutes les sauces, -même à la sauce immonde! Quel dégoût!
Le gauchiste d'extrème-droite (Il semble qu'il n'y ait plus de contradiction dans les termes) évoque le tétard Jean-Claude Martinez qui se met lui aussi à créer des néologismes magnifiques. L'alternationalisme, un nationalisme qui, si j'ai bien compris (J'ai un doute; je suis dépassé par la connerie des gens, en ce moment; je ne comprends pas tout ce qui se raconte), serait ouvert à tous les peuples du monde. Pas un nationalisme fermé, pour reprendre les termes d'Alain Soral. L'antifasciste veut un nationalisme à la Hugo Chavez. Voilà, le nom est lâché. Il a peut-être raison sur un point: la France est devenue le Vénézuela. Mais il semble que le tribun soit un peu étourdi. Il a oublié un autre nom: Ahmadinejad. Sans ce nom, son discours est très incomplet.
Le révolté sociologue est scandalisé par les maires qui ne veulent pas signer pour l'opprimé Jean-Marie Le Pen, le génie de l'alternative. Un révolté prêt au sacrifice: il va donner une semaine de son temps à la collecte des signatures. Je n'aurai qu'un mot, pour finir: cet homme est splendide.
No comments:
Post a Comment